Le dualisme métaphysico-religieux repose sur le principe d'une Unité transcendante qui résorbe toujours la Dualité (elle-aussi transcendante), même quand celle-ci fait l'objet d'une position apparemment prioritaire.
Au contraire la dualité unilatérale n'engendre aucun dualisme, car elle signifie la dualité du Sans-principe (Un) comme premier par immanence avec le Principe même de priorité par transcendance ou exclusion, c'est-à-dire le couple Un-Deux, d'où émergent toutes les positions philosophiques y compris le dualisme.
La Vision-en-Un n'est pas un monisme qui expliquerait le Monde par division ou émanation, ou qui viserait sa résorption ; elle détermine du Monde comme étant la division même et programme le clonage du sujet-Christ à partir de ce Monde.
Il n'y a pas de mal absolu ou pur (comme dans le dualisme), mais un mal-mélange (nommé "Etre" en philosophie, soit le mixte de l'immanence et de la transcendance) où l'Homme puise (par clonage) l'occasion de son existence comme sujet-Christ. En "face", il n'y a pas d'Unité si absolue qu'on devrait la dire du "Non-Etre" ; seulement l'Un immanent ou inhérent(à) soi, de sorte que c'est plutôt l'Etre qui doit être dit "non(-Un)" (ou "(non-)Un" en tant qu'affecté aussi par l'unilatéralité).
La Vision-en-Un, en se détachant du Principe des principes (l'obsession d'être "premier" et "directeur") détermine aussi bien le monisme que le dualisme, dans leurs versions religieuses comme dans leurs versions philosophiques.
2002
Au contraire la dualité unilatérale n'engendre aucun dualisme, car elle signifie la dualité du Sans-principe (Un) comme premier par immanence avec le Principe même de priorité par transcendance ou exclusion, c'est-à-dire le couple Un-Deux, d'où émergent toutes les positions philosophiques y compris le dualisme.
La Vision-en-Un n'est pas un monisme qui expliquerait le Monde par division ou émanation, ou qui viserait sa résorption ; elle détermine du Monde comme étant la division même et programme le clonage du sujet-Christ à partir de ce Monde.
Il n'y a pas de mal absolu ou pur (comme dans le dualisme), mais un mal-mélange (nommé "Etre" en philosophie, soit le mixte de l'immanence et de la transcendance) où l'Homme puise (par clonage) l'occasion de son existence comme sujet-Christ. En "face", il n'y a pas d'Unité si absolue qu'on devrait la dire du "Non-Etre" ; seulement l'Un immanent ou inhérent(à) soi, de sorte que c'est plutôt l'Etre qui doit être dit "non(-Un)" (ou "(non-)Un" en tant qu'affecté aussi par l'unilatéralité).
La Vision-en-Un, en se détachant du Principe des principes (l'obsession d'être "premier" et "directeur") détermine aussi bien le monisme que le dualisme, dans leurs versions religieuses comme dans leurs versions philosophiques.
2002