Si le problème du sage grec est d'affronter la mort selon le destin avec un minimum de crainte, celui de tout homme est de donner ou de recevoir la mort selon lui-même, dans son être-révélé en-dernière-Humanéité. L'homme ne s'autorise que de lui-même lorsqu'il donne la mort. L'assassiné lui-même donne la mort comme encore humaine.
La maîtrise et la mort sont humaines en-dernière-instance même quand elles viennent de la transcendance.
2004
La maîtrise et la mort sont humaines en-dernière-instance même quand elles viennent de la transcendance.
2004